Caroline Simon (1997) suit des études d’arts appliqués à Strasbourg. Sa poésie se veut libre, contestataire, acidulée. En 2016, elle a obtenu le premier prix du concours Jeune Printemps (Lu). Depuis, elle publie de manière aléatoire dans la revue On peut se permettre. Elle a participé à la soirée de clôture de Poema à la Kulturfabrik au Luxembourg. Dans le cadre du Printemps poétique transfrontalier 2019, elle a représenté le Luxembourg en tant que poète en résidence et, aux côtés de quatre autres poètes et un musicien, elle a parcouru la Grande Région pour une tournée de lectures. Un recueil des poèmes lus pendant cet évènement (Die Schienbeine der Stadt, 2019) a paru dans la parasitenpresse (Cologne). En 2020, ces derniers poèmes paraissent dans Anthology of Young Luxemburgish Poets, un project greco-luxembourgeois.
Caroline Simon (1997) currently studies applied arts in Strasbourg. Her poems display a free, engaged and spiky tone. In 2016, she won the first price of the Jeune Printemps (LU) poetry contest. Since then, she regularly publishes in the Belgian magazine On peut se permettre. During the 2019 Printemps poétique transfrontalier, she represented Luxembourg as a poet in residence and, with four other poets and one musician, she crossed the Grande Region for a reading tour. A volume of poetry Die Schienbeine der Stadt, featuring the majority of the poems read during the tour, was published in the parasitenpresse (Cologne). In 2020, she is part of the Anthology of Young Luxemburgish Poets (carried out by Nestoras Poulakos).